Chañaral-Autofagasta
Salut,
je reviens sur ma journée du 28 janvier ou après une matinée a tourner en ville (Chañaral) et au bord du Pacifique, je retourne à la "residencial" pour récupérer mes affaires et filer à la gare routière. En effet, je dois prendre un bus qui me ménera vers Autofagasta dont le départ est prévu à 12h30. Mon billet est prévu pour le lendemain mais je m'arrange pour avoir tout de même une place, ajouter a cela quelques déboirs pour charger et embarquer et enfin nous partons alors que l'horloge affiche 13h30, normal !
C'est parti pour la traversée du désert d'Atacama. Je plonge instantanément dans un autre monde, iréel, fantastique, à couper le souffle. Alors que mes voisins blasés de cette banalité paysagère qu'ils connaissent par coeur s'endorment, moi je reste scocher à mon siège devant la beauté de ce décor lunaire. La chaleur et le vent qui souffle à l'extérieur me font prendre conscience du bon choix que j'ai effectué. Dans le car il doit faire entre 40 et 45 degrès alors sur la route, qui de surcroit est défoncée et peu large, cela aurait été difficile mais pas impossible. En effet, je vois dans ma contemplation deux petites guérittes au milieu de nul part et une mine énorme, signe de vie. Sinon, ce n'est que sable et soleil mais quel bonheur ! Je rêve les yeux ouverts.
Enfin, la descente sur Autofagasta, cette bande de terre coincée entre la petite cordillière et le Pacifique. C'est le plus grand port du Chili mais une ville qui s'étend en longueur et sans charme réel. Pour moi ce sera la dernière grande ville où je suis assuré de pouvoir faire le plein de tout ce qui va m'être nécessaire pour le prochain mois, avant d'arriver à La Paz en Bolivie. En effet, dans deux jours je serais à Calama puis San Pedro d'Atatcama (2350m) avant de monter sur le plateau andin et notamment les geysers del Tatio (5400m) pour en redescendre que dans trois mois et demi à San Juan en Argentine.
A toujours sur mon rêve...
je reviens sur ma journée du 28 janvier ou après une matinée a tourner en ville (Chañaral) et au bord du Pacifique, je retourne à la "residencial" pour récupérer mes affaires et filer à la gare routière. En effet, je dois prendre un bus qui me ménera vers Autofagasta dont le départ est prévu à 12h30. Mon billet est prévu pour le lendemain mais je m'arrange pour avoir tout de même une place, ajouter a cela quelques déboirs pour charger et embarquer et enfin nous partons alors que l'horloge affiche 13h30, normal !
C'est parti pour la traversée du désert d'Atacama. Je plonge instantanément dans un autre monde, iréel, fantastique, à couper le souffle. Alors que mes voisins blasés de cette banalité paysagère qu'ils connaissent par coeur s'endorment, moi je reste scocher à mon siège devant la beauté de ce décor lunaire. La chaleur et le vent qui souffle à l'extérieur me font prendre conscience du bon choix que j'ai effectué. Dans le car il doit faire entre 40 et 45 degrès alors sur la route, qui de surcroit est défoncée et peu large, cela aurait été difficile mais pas impossible. En effet, je vois dans ma contemplation deux petites guérittes au milieu de nul part et une mine énorme, signe de vie. Sinon, ce n'est que sable et soleil mais quel bonheur ! Je rêve les yeux ouverts.
Enfin, la descente sur Autofagasta, cette bande de terre coincée entre la petite cordillière et le Pacifique. C'est le plus grand port du Chili mais une ville qui s'étend en longueur et sans charme réel. Pour moi ce sera la dernière grande ville où je suis assuré de pouvoir faire le plein de tout ce qui va m'être nécessaire pour le prochain mois, avant d'arriver à La Paz en Bolivie. En effet, dans deux jours je serais à Calama puis San Pedro d'Atatcama (2350m) avant de monter sur le plateau andin et notamment les geysers del Tatio (5400m) pour en redescendre que dans trois mois et demi à San Juan en Argentine.
A toujours sur mon rêve...